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»Il faudrait volontairement fermer les yeux à l’évidence, pour ne pas reconnaître, que l’espèce de foire du Champ-de-Mars dans l’année 1798, que les superbes portiques de la Cour du Louvre et de celles des Invalides, dans les années suivantes, et qu’enfin la mémorable ordonnance royale du 13 janvier 1819, ont puissamment contribué aux beaux développemens de l’industrie française … Il était réservé à un Roi de France, de transformer nos magnifiques galeries de son Palais, en un immense basar, pour qu’il fut donné à son peuple, de contempler … ces trophées non sanglants, élevés par le génie des arts et de la paix.« Chenou et H. D.: Notice sur l’exposition des produits de l’industrie et des arts qui a eu lieu à Douai en 1827 Douai 1827 p 5 [G 8, 3]
Drei verschiedene Arbeiterdelegationen wurden 1851 nach London entsandt; keine von ihnen bewirkte Wesentliches. Zwei waren offiziell: eine ging von der assemblée nationale, eine von der municipalité aus; die private kam mit Unterstützung der Presse, vor allem Emile de Girardins zusammen. Die Arbeiter hatten keinen Einfluß auf die Zusammensetzung dieser Delegationen. [G 8, 4]
Die Maße des Kristallpalastes bei A S Doncourt: Les expositions universelles Lille Paris 〈1889〉 p 12 – die Langseiten maßen 560 m. [G 8, 5]
Über die Arbeiterdelegation zur Londoner Weltausstellung von 1862: »Les bureaux électoraux s’organisèrent rapidement, lorsqu’à la ville des élections un incident … vint entraver les opérations. La préfecture de police … prit ombrage de ce mouvement sans précédent et la Commission ouvrière reçut ordre de ne pas continuer ses travaux. Convaincus que cette mesure … ne pouvait être que le résultat d’une méprise, les membres de la Commission … s’adressèrent immédiatement à Sa Majesté … L’Empereur … voulut bien faire accorder à la Commission l’autorisation de poursuivre sa tâche. Les élections … nommèrent deux cents délégués … Une période de dix jours avait été accordé à chaque groupe pour remplir sa mission. Chaque délégué recevait à son départ une somme de 115 fr. et un billet de 2me classe, aller et retour; le logement et un repas, ainsi que les entrées à l’Exposition … Ce grand mouvement populaire a eu lieu sans que le moindre incident … ait été à regretter.« Rapports des délégués des ouvriers parisiens à l’exposition de Londres en 1862 publiés par la Commission ouvrière Paris 1862/64 (1 vol!) p III/IV (Der Bericht umfaßt 53 Delegationsberichte der verschiedenen Gewerbegruppen.) [G 8 a, 1]
Paris 1855 »Quatre locomotives gardaient l’entrée de l’annexe des machines, semblables à ces grands taureaux de Ninive, à ces grands sphinx égyptiens qu’on voyait à l’entrée des temples. L’annexe était le pays du fer, du feu et de l’eau; les oreilles étaient assourdis, les yeux éblouis: … tout était en mouvement; on voyait peigner la laine, tordre le drap, tondre le fil, battre le grain, extraire le charbon, fabriquer le chocolat, etc. Le mouvement et la vapeur étaient communiqués à tous indistinctement, au rebours de ce qui s’était fait à Londres, en 1851, où les exposants anglais seuls avaient eu le bienfait du feu et de l’eau.« A S Doncourt: Les expositions universelles Lille Paris 〈1889〉 p 53 [G 8 a, 2]
1867 war das »orientalische Viertel« das Zentrum der Attraktionen. [G 8 a, 3]
15 000 000 Besucher der Ausstellung von 1867. [G 8 a, 4]
1855 durften die Waren zum ersten Mal mit Preisen ausgezeichnet werden. [G 8 a, 5]
»Le Play avait … pressenti combien s’imposerait la nécessité de trouver ce que nous appelons dans le langage moderne ›un clou‹. Il avait prévu également que cette nécessité … donnerait aux expositions la mauvaise orientation qui … faisait dire à M. Claudio-Janet en 1889: ›Un économiste honnête homme M. Frédéric Passy, dénonce depuis de longues années au Parlement et à l’Académie l’abus des fêtes foraines. Tout ce qu’il dit de la foire au pain d’épices … peut, toute proportion gardée, se dire de la grande célébration du centenaires.‹« Dazu die Anmerkung: »Le succès des attractions est en effet tel que la tour Eiffel qui avait coûté six millions avait déjà gagné le 5 novembre 1889 6.459.581 francs.« Maurice Pécard: Les expositions internationales au point de vue économique et sociale particulièrement en France Paris 1901 p 29 [G 9, 1]
Das Ausstellungspalais von 1867 auf dem Marsfeld, das mit dem Collosseum verglichen wurde: »La distribution imaginée par le commissaire général Le Play était des plus heureuses: les objets étaient répartis par ordre de matière dans huit galeries concentriques; douze allées … partaient du grand axe: les principales nations occupaient les secteurs limités par ces rayons. De la sorte … l’on pouvait … soit en parcourant les galeries, se rendre compte de l’état d’une industrie dans les différentes nations, soit en parcourant les allées transversales se rendre compte de l’état, dans chaque pays, des diverses branches de l’industrie.« Adolphe Démy: Essai historique sur les expositions universelles de Paris Paris 1907 p 129 – Ebendort ein Zitat aus Théophile Gautiers Artikel über das Palais im Moniteur vom 17 September 1867: »Il semble qu’on ait devant soi un monument élevé dans une autre planète, Jupiter ou Saturne, d’après un goût que nous ne connaissons pas et des colorations auxquelles nos yeux ne sont pas habitués.« Ein Satz zuvor: »Le grand gouffre azuré avec sa bordure couleur de sang produit un effet vertigineux et désoriente les idées qu’on avait sur l’architecture.« [G 9, 2]
Widerstände gegen die Weltausstellung von 1851〈:〉 »Le Roi de Prusse interdisait au prince et à la princesse royale … de se rendre à Londres … Le corps diplomatique refusait de présenter à la reine une adresse de félicitations. ›En ce moment même, écrivait … le 15 avril 1851 le prince Albert à sa mère … Les adversaires de l’Exposition travaillent largement … Les étrangers, annoncent-ils, commenceront ici une révolution radicale, tueront Victoria et moi-même et proclameront la république rouge. La peste doit certainement résulter de l’affluence de si grandes multitudes et dévorer ceux que l’accroissement du prix de toutes choses n’aura pas chassés.‹« Adolphe Démy: Essai historique sur les expositions universelles Paris 1907 p 38 [G 9, 3]
François de Neufchateau über die Ausstellung von 1798 (nach Démy: Essai historique sur les expositions universelles)〈.〉 »Les Français, disait-il …, ont étonné l’Europe par la rapidité de leurs succès guerriers; ils doivent s’élancer avec la même ardeur dans la carrière du commerce et des arts de la paix.« (p 14) »Cette première exposition … est réellement une première campagne, une campagne désastreuse pour l’industrie anglaise.« (p 18). – Eröffnungsfestzug von kriegerischem Charakter: »1° l’école des trompettes; 2° un détachement de cavalerie; 3° les deux premiers pelotons d’appariteurs; 4° des tambours; 5° musique militaire à pied; 6° un peloton d’infanterie;7° les hérauts; 8° le régulateur de la fête; 9° les artistes inscrits pour l’exposition; 10° le jury.« (p 15) – Die goldene Medaille behält Neufchateau dem vor, der die englische Industrie am meisten schädigt. [G 9 a, 1]
Die zweite Ausstellung, im Jahre IX〈,〉 sollte die Werke der Industrie und der bildenden Kunst im Hof des Louvre vereinigen. Aber die Künstler lehnten die Zumutung ab, gemeinschaftlich mit Industriellen auszustellen. (Démy p 19) [G 9 a, 2]
Ausstellung von 1819〈.〉 »Le roi à l’occasion de l’exposition conféra à Ternaux et à Oberkampf le titre de baron … L’octroi de titres nobiliaires à des industriels avait provoqué des critiques. En 1823 on s’abstint de toute collation de noblesse.« Démy: Essai historique p 24 [G 9 a, 3]
Ausstellung von 1844. Über sie Mme de Girardin〈:) Le Vicomte de Launay, Lettres parisiennes IV p 66 (cit nach Adolphe Démy: Essai historique p 27): »›C’est un plaisir, disait-elle, qui ressemble singulièrement à un cauchemars‹. Et elle énumérait les singularités qui ne manquaient pas: le cheval écorché, le hanneton colossal, la mâchoire mouvante, le Turc pendule qui marquait les heures par le nombre de ses culbutes, sans oublier, M. et Mme Pipelet, les concierges des Mystères de Paris, en angélique.« [G 9 a, 4]
Weltausstellung 1851 14 837, von 1855 80 000 Aussteller. [G 9 a, 5]
Die ägyptische Ausstellung von 1867 war in einem Bau untergebracht, der einen ägyptischen Tempel nachbildet. [G 9 a, 6]
Walpole schildert in seinem Roman »The Fortress« die Vorkehrungen, die in einem eigens für die Besucher der Weltausstellung von 1851 erstellten Hotel für deren Aufnahme getroffen wurden. Zu diesen gehörte die ständige polizeiliche Überwachung des Hotels, die Anwesenheit eines Hotel-Geistlichen und die regelmäßige Morgenvisite eines Arztes. [G 10, 1]
Walpole schildert den Kristallpalast mit der gläsernen Fontäne in seiner Mitte und den Ulmen, »die aussahen, wie wenn ein Waldlöwe in einem Netz aus Glas gefangen worden wäre«, (p 307) Er schildert die mit kostbaren Teppichen verzierten Logen, vor allem aber die Maschinen. »In diesem Maschinenraum gab es selbsttätige Spinnmaschinen, die jacquartsche Spitzenmaschine, Maschinen, die Briefumschläge machten, Dampfwebstühle, Modellokomotiven, Zentrifugalpumpen und Lokomobile; alle diese arbeiteten wie verrückt, während die Tausende neben ihnen in Zylindern und Kapotthüten ruhig wartend dasaßen, passiv und nicht ahnend, daß das Zeitalter des Menschen auf diesem Planeten zuende war.« Hugh Walpole: The Fortress Hamburg, Paris, Bologna 〈1933〉 p 306 [G 10, 2]
Delvau spricht von »gens qui ont les yeux collés chaque soir aux vitres des magasins de la Belle Jardinière, pour voir faire la caisse de la journée.« Alfred Delvau: Les heures parisiennes Paris 1866 p 144 (Huit heures du soir) [G 10, 3]
In einer Senatsrede vom 31 Januar 1868 versucht Michel Chevalier das Palais de l’industrie von 1867 vor der Zerstörung zu retten. Von den mehrern Verwendungsmöglichkeiten, die er für das Gebäude vorschlägt, ist die merkwürdigste, das Innere, das seiner zyklischen Form nach dazu geeignet sei, für Truppenübungen zu verwenden. Auch empfiehlt er den Bau als Lokal einer ständigen ausländischen Mustermesse. Die Absicht der gegnerischen Seite scheint gewesen zu sein, aus militärischen Gründen das Champ de Mars von Bauten freizuhalten. Vgl. Michel Chevalier: Discours sur une pétition réclamant contre la destruction du palais de l’exposition universelle de 1867 Paris 1868 [G 10, 4]
»Les expositions universelles … ne peuvent manquer d’amener les comparaisons les plus exactes entre les prix et les qualités des mêmes produits chez les différents peuples: que l’école de la liberté absolue du commerce se réjouisse donc! Les expositions universelles tendent … à l’abaissement, si ce n’est à la suppression des droits de douane.« Achille de Colusont〈?〉: Histoire des expositions des produits de l’industrie française Paris 1855 p 544 [G 10 a, 1]
»Chaque industrie, exposant ses trophées
Dans ce bazar du progrès général,
Semble avoir pris la baguette des fées
Pour enrichir le Palais de Cristal.
…
Riches, savants, artistes, prolétaires,
Chacun travaille au bien-être commun;
Et, s’unissant comme de nobles frères,
Ils veulent tous le bonheur de chacun.«
Clairville et Jules Cordier: Le Palais de Cristal ou les Parisiens à Londres (Théâtre de la Porte-Saint-Martin le 26 mai 1851) Paris 1851 p 6 [G 10 a, 2]
Die beiden letzten tableaux von Clairvilles »Palais de Cristal« spielen vor und im Kristallpalast. Die Bühnenanweisung für das 〈vor-〉letzte tableau: »La galerie principale du Palais de cristal; à gauche, sur le devant, un lit dont à la tête est un grand cadran. Au milieu, une petite table sur laquelle sont des petits sacs et des pots de terre; à droite une machine électrique; au fond, l’exposition des divers produits d’après la gravure descriptive tirée de Londres.« (p 30) [G 10 a, 3]
Anzeige von Chocolat Marquis aus dem Jahre 1846〈:〉 »Chocolat de la maison Marquis, passage des Panoramas et rue Vivienne 44 – Voici venir l’époque où le chocolat praliné et toutes les autres variétés de chocolat de fantaisie vont sortir … de la maison Marquis sous les formes les plus diverses et les plus gracieuses … Les confidences que nous avons reçus nous permettent de prévenir nos lecteurs que cette fois encore de jolis vers, judicieusement choisis dans ce qui s’est produit cette année de plus pur, de plus gracieux et de plus ignoré du vulgaire profane, accompagneront les exquises douceurs du chocolat Marquis. Par le positif qui court et qui nous régit, nous le félicitons d’accorder si généreusement sa puissante publicité à tous ces jolis vers.« C〈abinet〉d〈es〉 E〈stampes〉 [G 10 a, 4]
Industriepalast von 1855〈:〉 »Sechs Pavillons begrenzen das Gebäude von allen vier Seiten; im Ganzen zählt man im unteren Stockwerk 306 Arkaden. Ein ungeheures Glasdach erhellt den inneren Raum. Als Material ist nur Stein, Eisen und Zink verwendet worden; die Baukosten haben sich auf 11 Millionen Franken belaufen … Zwei große Glasgemälde im Osten und Westen der Hauptgallerie sind besonders bemerkenswerth … Alle Personen erscheinen wie in natürlicher Größe dargestellt, und sind doch nicht weniger als 6 Meter hoch.« Acht Tage in Paris Paris Juillet 1855 p 9/10. Die Glasbilder stellen das industrielle Frankreich und die Gerechtigkeit dar. [G 11, 1]
»J’ai … écrit avec mes collaborateurs de l’Atelier, que le moment était venu de faire la révolution économique …, quoique nous fussions tombés d’accord, quelque temps auparavant, que les populations ouvrières de toute l’Europe étaient solidaires, et qu’il fallait s’attacher avant tout à l’idée de la fédération politique des peuples.« A Corbon: Le secret du peuple de Paris Paris 1863 p 196 und p 242: »En résumé, l’opinion politique de la classe ouvrière de Paris est presque tout entière contenue dans le désir passionné de servir le mouvement de fédération des nationalités.« [G 11, 2]
Nina Lassave, die Geliebte Fieschis, wird nach dessen Hinrichtung am 19 Februar 1836 als caissière im Café de la Renaissance, place de la Bourse angestellt. [G 11, 3]
Tiersymbolik bei Toussenel: der Maulwurf: »La taupe n’est pas … l’emblème d’un seul caractère, elle est l’emblème de toute une période sociale, la période d’enfantement de l’industrie, la période cyclopéenne … elle est l’expression allégorique … de la prédominance absolue de la force brutale sur la force intellectuelle … Il y a ressemblance assez marquée entre les taupes qui bouleversent le sol et percent des voies de communication souterraines … et les monopoleurs de chemins de fer et de messageries … L’extrême sensibilité nerveuse de la taupe qui redoute la lumière … caractérise admirablement l’obscurantisme obstiné de ces monopoleurs de banque et de transports qui redoutent aussi la lumière.« A Toussenel: L’esprit des bêtes Zoologie passionnelle Mammifères de France Paris 1884 p 469 et 473/474 [G 11, 4]
Tiersymbolik bei Toussenel: das Murmeltier: »La marmotte … perd son poil par le travail, par allusion à la misère du pauvre Savoyard dont l’industrie pénible a pour premier effet de râper les vêtements.« Toussenel: L’esprit des bêtes Paris 1884 p 334 [G 11, 5]
Pflanzensymbolik bei Toussenel: die Rebe: »La vigne aime à jaser … elle monte familièrement sur l’épaule des pruniers, des oliviers, des ormes; elle tutoie tous les arbres.« A Toussenel: L’esprit des bêtes Paris 1884 p 107 [G 11, 6]
Toussenel gibt die Theorie des Kreises und der Parabel mit Beziehung auf die verschiednen Spiele der beiden Geschlechter. Das erinnert an die Anthropomorphismen Grandvilles. »Les figures chéries de l’enfance affectent invariablement la forme sphérique, la balle, le cerceau, la bille; les fruits qu’elle aime de préférence aussi: la cerise, la groseille, la pomme d’api, la tourte aux confitures … L’analogiste qui a observé ces jeux avec une attention suivie n’a pas été sans remarquer une différence caractéristique dans le choix des amusettes et des exercices favoris des enfants des deux sexes … Qu’a donc remarqué notre observateur dans le caractère des jeux de l’enfance féminine? Il a remarqué dans la physionomie de ces jeux une propension décidée vers l’ellipse. Je compte, en effet, parmi les exercices favoris de l’enfance féminine, le volant et la corde … La corde et le volant décrivent des courbes elliptiques ou paraboliques. Pourquoi cela? Pourquoi, si jeune encore, cette préférence du sexe mineur pour la courbe elliptique, et ce mépris manifeste pour la bille, la balle et la toupie? Parce que l’ellipse … est la courbe d’amour, comme le cercle est celle d’amitié. L’ellipse est la figure dont Dieu … a profilé la forme de ses créatures favorites, la femme, le cygne, le coursier d’Arabie, les oiseaux de Vénus; l’ellipse est la forme attrayante par essence … Les astronomes ignoraient généralement … pour quelle cause les planètes décrivaient des ellipses et non pas des circonférences autour de leur pivot d’attraction; ils en savent maintenant sur ce mystère autant que moi.« Toussenel le p 89-91 [G 11 a, 1]
Toussenel stellt eine Symbolik der Kurven auf, derzufolge der Kreis die Freundschaft, die Ellipse die Liebe, die Parabel den Familiensinn, die Hyperbel den Ehrgeiz darstellt. Im Abschnitt über die letztere führt die folgende Stelle besonders nahe an Grandville heran: »L’hyperbole est la courbe de l’ambition … Admirez la persistance opiniâtre de l’ardente asymptote, poursuivant l’hyperbole d’une course échevelée; elle approche, elle approche toujours du but … mais elle ne l’atteint pas.« A Toussenel: L’esprit des bêtes Paris 1884 p 92 [G 11 a, 2]
Tiersymbolik bei Toussenel: der Igel: »Vorace et d’aspect repoussant, c’est aussi le portrait du valet de plume infime, trafiquant de biographie et de chantage, vendant des brevets de maître de poste et des concessions de théâtre … et tirant … de sa conscience d’artichaut … faux serments et apologies à prix fixe … On dit que le hérisson est le seul des quadrupèdes de France sur lequel le venin de la vipère n’ait pas prise. J’aurais deviné l’exception par l’analogie seule … Comment voulez-vous … que la calomnie (vipère) morde sur le goujat littéraire …!« A Toussenel: L’esprit des bêtes Paris 1884 p 476 et 478 [G 11 a, 3]
»L’éclair est le baiser des nuages, orageux, mais fécond. Deux amants qui s’adorent et qui veulent se le dire en dépit de tous les obstacles, sont deux nuages animés d’électricités contraires et gonflés de tragédies.« A Toussenel: L’esprit des bêtes Zoologie passionnelle Mammifères de France Paris 1884 p 100/101 (Vierte Auflage) [G 12, 1]
Die erste Auflage von Toussenels »Esprit des bêtes« erschien 1847. [G 12, 2]
»J’ai vainement fouillé l’antiquité pour y trouver des traces du chien d’arrêt … J’ai interrogé sur l’époque de l’apparition de cette race les souvenirs des plus lucides somnambules; tous les renseignements … aboutissent à cette conclusion que le chien d’arrêt est une création des temps modernes.« A Toussenel: L’esprit des bêtes Paris 1884 p 159 [G 12, 3]
»Une jeune et jolie femme est une véritable pile voltaïque … chez qui le fluide captif est retenu par la forme des surfaces et la vertu isolante des cheveux; ce qui fait que lorsque ce fluide veut s’échapper de sa douce prison, il est obligé de tenter d’incroyables efforts, lesquels produisent à leur tour, par influence, sur les corps animés diversement d’effrayants ravages d’attraction … L’histoire du genre humain fourmille d’exemples d’hommes d’esprit, de savants, de héros intrépides … foudroyés par une simple œillade féminine … Le saint roi David fit preuve qu’il comprenait parfaitement les propriétés condensatrices des surfaces elliptiques polies quand il s’adjoignit la jeune Abisag.« A Toussenel: L’esprit des bêtes Paris 1884 p 101-103 [G 12, 4]
Toussenel erklärt die Rotation der Erde als Resultante aus Zentrifugal- und Anziehungskraft. Weiter: »L’astre … commence à valser sa valse frénétique … Tout bruit, tout se meut, tout s’échauffe, tout scintille à la surface du globe, encore enseveli la veille dans le froid silence de la nuit. Spectacle merveilleux pour l’observateur bien placé; changement de décors à vue, d’un effet admirable; car la révolution s’est accomplie entre deux soleils, et, le soir même, une nouvelle étoile de couleur améthyste, a fait son apparition dans nos cieux.« (p 45) Und, anspielend auf den Vulkanismus früher Erdepochen: »On sait les effets habituels de la première valse sur les organisations délicates … La Terre aussi a été secouée rudement par sa première épreuve.« A Toussenel: L’esprit des bêtes Zoologie passionnelle Paris 1884 p 44/45 [G 12, 5]
Grundsatz von Toussenels Zoologie: »Le rang des espèces est en raison directe de la ressemblance avec l’homme.« A Toussenel: L’esprit des bêtes Paris 1884 p I vgl das Motto des Werkes: »Ce qu’il y a de mieux dans l’homme, c’est le chien.« Charlet. [G 12 a, 1]
Der Ballonfahrer Poitevin unternahm, von großer publicité unterstützt, eine ascension de l’Uranus mit Mädchen, die als mythologische Figuren ausstaffiert waren, auf seiner Gondel. (Paris sous la république de 1848 Exposition de la bibliothèque et des travaux historiques de la Ville de Paris 1909 p 34) [G 12 a, 2]
Nicht nur bei der Ware kann von einer fetischistischen Selbständigkeit gesprochen werden, sondern – wie die folgende Stelle von Marx zeigt – auch bei dem Produktionsmittel: »Betrachen wir den Produktionsprozeß unter dem Gesichtspunkt des Arbeitsprozesses, so verhielt sich der Arbeiter zu den Produktionsmitteln … als bloßem Mittel … seiner zweckmäßigen produktiven Tätigkeit … Anders, sobald wir den Produktionsprozeß unter dem Gesichtspunkt des Verwertungsprozesses betrachteten. Die Produktionsmittel verwandelten sich sofort in Mittel zur Einsaugung fremder Arbeit. Es ist nicht mehr der Arbeiter, der die Produktionsmittel anwendet, sondern es sind die Produktionsmittel, die den Arbeiter anwenden. Statt von ihm als stoffliche Elemente seiner produktiven Tätigkeit verzehrt zu werden, verzehren sie ihn als Triebkraft ihres eignen Lebensprozesses … Schmelzöfen und Arbeitsgebäude, die des Nachts ruhn und keine lebendige Arbeit einsaugen, sind ›reiner Verlust‹ für den Kapitalisten. Darum begründen Schmelzöfen und Arbeitsgebäude einen ›Anspruch auf die Nachtarbeit‹ der Arbeitskräfte.« Diese Betrachtung ist zur Analyse Grandvilles heranzuziehen. Wieweit ist der Lohnarbeiter die »Seele« seiner fetischhaft bewegten Objekte? [G 12 a, 3]
»La nuit fait des distributions d’essence stellaire aux fleurs endormies. Tous les oiseaux qui volent ont à la patte le fil de l’infini.« Victor Hugo: Œuvres complètes Paris 1881 Roman 8 p 114 (Les Misérables IV) [G 12 a, 4]
Drumont nennt Toussenel »un des plus grands prosateurs de ce siècle«. Edouard Drumont: Les héros et les pitres Paris 〈1900〉 p 270 (Toussenel) [G 12 a, 5]
Ausstellungstechnik: »Une règle fondamentale que l’observation fait bientôt découvrir, c’est qu’aucun objet ne doit être placé directement sur le sol au niveau des voies de circulation. Les pianos, les meubles, les instruments de physique, les machines sont mieux exposés sur un socle ou sur un plancher surélevé. Les installations qu’il convient d’employer comprennent deux systèmes bien distincts: les expositions sous vitrine et celles à l’air libre. Certains produits, en effet, doivent, par leur nature ou par leur valeur, être mis à l’abri du contact de l’air ou de la main; d’autres gagnent à être exposés à découvert.« Exposition universelle de 1867, à Paris – Album des installations les plus remarquables de l’exposition de 1862, à Londres, publié par la commission impériale pour servir de renseignement aux exposants des diverses nations Paris 1866 〈p 5〉 Tafelwerk in gr fol, mit sehr interessanten, teilweise farbigen Abbildungen, bezw. Querschnitten und Längsschnitten von Ausstellungsständen der Weltausstellung von 1862. B〈ibliothèque〉 N〈ationale〉V. 644 [G 13, 1]
Paris im Jahre 2855: »Les hôtes qui nous viennent de Saturne et Mars oubliaient en débarquant ici les horizons de la planète maternelle! Paris est désormais la métropole de la création! … Où êtes-vous, Champs-Elysées, thème favori des nouvellistes de l’an 1855? … Dans cette allée, pavée en fer creux, couverte de toitures de cristal, bourdonnent les abeilles et les frêlons de la finance! Les capitalistes de la Grande-Ourse discutent avec les agioteurs de Mercure! On vient de mettre aujourd’hui même en actions les débris de Vénus à moitié incendiée par ses propres flammes!« Arsène Houssaye: Le Paris futur (Paris et les Parisiens au XIXe siècle Paris 1856 p 458/59) [G 13, 2]
Über die Fixierung des Generalrats der Arbeiterinternationale in London kursierte das Wort: »L’enfant né dans les ateliers de Paris était mis en nourrice à Londres.« (S. Ch Benoist: Le »mythe« de la classe ouvrière Revue des deux mondes 1 mars 1914 p 104) [G 13, 3]