- -
- 100%
- +
Donc, dans la chambre de Leslie, nous étions nues toutes les quatre. Qui donc a promis que la première qui jouit… On s’est masturbées puis l’une de nous a dit que ce sera mieux avec un gode et Leslie en a sorti un que nous nous sommes passées de main en main jusqu’à ce que Leslie jouisse. Moi je m’étais toujours eff***er de jouir le plus rapidement et là, je venais de me faire doubler. Leslie est allée chercher une autre bouteille d’alcool et elle a rempli les verres et nous avons continué à boire et, Leslie encore, est montée à quatre pattes sur le lit en nous demandant de venir la lécher et je me suis dévouée. Je n’avais vu des petites lèvres aussi grandes que sur le vulve de ma grand-mère. Elles pendaient entre ses cuisses. Je les ai mordillées et j’ai tiré dessus avec mes dents puis une des filles est venue me lécher et j’ai trouvé que ça devenait intéressant puis un homme jeune a fait irruption dans la chambre.
- Qu’est-ce que tu fais-là, lui a hurlé Leslie ?
- Tiens, je vois que ma demi-soeur s’amuse, lui a répondu son demi-frère !
Notre chaîne s’est disloquée et nous nous sommes retrouvés face à face.
- Hé, a ajouté le demi-frère ! Venez ! J’ai découvert un trésor !
Deux autres types sont apparus à la porte de la chambre et ils ont tous entrés.
- Allez ! Sortez, les a suppliés Leslie ! Il n’y a rien pour vous ici !
- Il n’y a que des gouines, lui a répondu son demi-frère ?
- C’est parce qu’elles n’ont pas eu l’occasion de rencontrer de vrais hommes, a fait l’un des amis de son frère !
Leslie lui a répondu qu’ils ne sont pas capables de se déshabiller mais ils l’ont prise au mot et ils ont retiré tous leurs vêtements et il était impossible de ne pas voir qu’ils avaient envie de nous.
- On va faire un contrat, a ajouté le demi-frère de Leslie en prenant une feuille de papier et un crayon sur le bureau : règle numéro 1, interdiction de faire mal; règle numéro 2, on s’engage à tout accepter sans f***er son partenaire; règle numéro trois; est-ce que ces dames risquent d’être enceintes aujourd’hui ! Il a ajouté que ceux qui ne signeront pas peuvent sortir après avoir juré de ne jamais rien dire.
Il a fait circuler la feuille et quand elle est arrivée à moi, tous avaient signé et j’étais bien obligée de faire comme les autres et j’ai signé. Le demi-frère de Leslie a récupéré la feuille pour la plier et la mettre tout en haut de l’armoire puis il a ajouté qu’ils vont montrer aux dames qu’ils sont pleins de bonne volonté et ils se sont enculés tous les trois et celui qui était à la fin de la chenille a commencé à branler celui qui était en tête puis ils se sont séparés et ils se sont approchés de nous. J’ai sucé la bite du garçon qui était le plus près de moi et pendant que je suçais, je me suis fait prendre. Pas tout de suite parce que le type était trop excité et qu’il n’y arrivait pas et j’ai guidé sa bite dans mon vagin. Je pouvais voir que les autres baisaient comme des lapins même s’il manquait un mâle. Je suis passé dans les bras des uns et des autres et des unes et des autres.
- Je peux, m’a demandé le petit-frère de Leslie ?
Je lui ai répondu que j’ai signé et il s’est enfoncé dans mon anus et il a voulu à tout pris savoir si j’aime ça puis j’ai compris qu’il se faisait enculer par ses amis lui aussi. Au bout d’une heure d’abstinence et de chassé-croisé, le sperme a commencé à couler. Une fille s’était assise sur mon visage et elle m’arrachait les seins tant elle tirait dessus.
- La prochaine fois, il faudra que tu amènes quelqu’un d’autre, a dit Leslie à son demi-frère !
- Parce qu’il y aura une autre fois, lui a-t-il demandé ?
- Pourquoi pas, lui a-t-elle répondu ! Ça faisait longtemps que tu avais envie de me baiser ?
Il lui a répondu qu’il n’avait jamais osé lui proposer. J’avais du sperme sur le menton, sur les seins et sur les cuisses.
- Ça t’a plu, ai-je demandé à un des garçons ?
J’avais raclé du sperme sur le bout de mon index et je lui ai mis dans la bouche. Il m’a demandé s’il peut me revoir mais j’ai refusé d’être séparée des autres. Nous avons recommencé nos après-midi une douzaine de fois. Un quatrième garçon a été invité à la fête mais il est aussi arrivé qu’ils soient six, de quoi nous satisfaire et, devinez-quoi, il y a quelques temps, j’ai revu Didier, celui qui m’avait proposé de faire cavalier seul avec moi. J’ai eu un peu de mal à le reconnaître parce qu’il avait perdu ses cheveux. Il m’a demandé si je continue et je savais bien de quoi il parlait et je lui ai dit que nous avons cessé parce que Leslie a eu un enfant d’on ne sait qui des invités et, les uns après les autres, nous avons levé le pied.
- Tu m’as toujours plu, a-t-il ajouté ! Je voudrais bien me marier ! Qu’est-ce que tu en penses ?
Je n’en pensais rien. Je venais de fêter sainte Catherine. Mes parents s’inquiétaient de mon avenir.
- On peut toujours sortir ensemble pour commencer, a insisté Didier ?
J’ai commencé à sortir avec lui et puis un jour, je suis allé à l’hôtel avec lui et quand je lui ai sucé la bite, je lui ai demandé ce que c’est que ce tatouage sur son pénis. Il m’a répondu que c’est mon prénom et, effectivement, quand il a été en érection… Je lui ai dit que je ne me ferai jamais tatouer mais je n’ai pas tenu parole car si vous soulevez mon sein gauche, vous verrez le prénom de mon mari. Nous avons fait l’amour et je me suis rendu compte que Didier était plus performant que pendant nos partouzes. Je n’ai rien à lui reprocher parce que ce jour-là, il m’a prise de main de maître puis il m’a emmenée voir ses parents et je suis restée bouche bée quand Didier m’a demandé si ça me plaira.
- Vous êtes riches, je lui ai fait !
Didier rm’a répondu que je n’ai qu’un mot à dire et ce mot, je n’allais pas tarder à le dire devant le maire mais en attendant, il fallait que je présente mon fiancé à mes parents. Peu avant notre mariage, je lui ai suggéré de faire une soirée comme nous aimions tant les faire et il n’a pas hésité et nous avons pu rencontrer tous nos anciens partenaires ou presque et aussi Leslie qui était encore enceinte et ce soir-là, c’est moi qui invitais. Alors qu’il se faisait sodomiser et que je me faisais enculer par un autre, j’ai dit à Didier que c’est la dernière fois qu’on s’amuse et il m’a répondu qu’il ne veut que mon bonheur. Sur les cinq heures du matin, la petite fête s’est terminée.
Leslie m’a remerciée puis elle a ajouté qu’elle va sans doute aller directement à la clinique pour accoucher. Je suis rentrée chez moi. A la porte de mon immeuble, il y avait un type assis sur les marches et que j’avais déjà vu.
- Une passe, m’a-t-il demandé ?
Je l’ai regardé et j’ai éclaté de rire et je lui ai dit que je me marie samedi.
- Pourquoi pas, m’a fait le type ?
Je lui ai dit de me suivre. On s’est déshabillés et il m’a regardé attentivement puis il m’a dit que j’aime me faire enculer et c’est ce qu’il a fait. Après, je lui ai offert le petit-déjeuner et il a disparu. L’après-midi, je suis allée chercher ma robe de mariée. Il n’y avait que la vendeuse dans la boutique. Quand elle a suggéré de faire un dernier essayage, je ne me suis pas méfiée car, une fois nue dans la cabine la fille est entrée et elle m’a dit qu’elle est amoureuse de moi puis elle m’a embrassée sur la bouche et j’ai fait l’amour avec elle.
Après le mariage, j’ai emménagé avec mon mari dans la propriété de ses parents mais j’avais du mal à m’y faire si bien qu’il n’a pas refusé quand j’ai proposé qu’on reprenne nos soirées et maintenant, deux fois par mois, on s’amuse à nouveau avec Leslie, son demi-frère et tous ceux qui ont participé à nos régates et mon gros ventre, je le dois à mon mari et pas à un autre.
Un moment avec Margot
Il y a de cela quelques années traversant une période de célibat, il m'arrivait de fréquenter un quartier bien connu de Paris ou des dames vendent du plaisir.
En ce début d'après-midi d'une belle journée printanière, j'était venu dans ce quartier avec la ferme intention d'en repartir soulagé après presque une semaine d'abstinence. Je parcourais d'abord la rue Blondel ou j'avais déjà eu l'occasion à plusieurs reprises de monter avec des Dames qui m'avaient laissé un agréable souvenir et avec qui pour certaines j'avais renouvelé l'expérience..... Ce jour là beaucoup de visages connus mais aucune de ces quelques perles rares ..... Avant que je n'apperçoive Louise, une très grande black au corps sculptural avec un fessier de folie qui malheuresement pour moi rentrait dans son immeuble suivi d'un client. J'ai ensuite pris la rue St Denis vers les Halles puis demi-tour arrivé rue Reaumur, je remontais la rue trottoir de gauche . Arrivé pas très loin de la rue Blondel , j'apperçu Margot discutant avec une de ses collègues juste en face de l'entrée de l'immeuble dans lequel se trouvait son studio.
Margot était souvent vêtue de blanc, ce jour là elle portait une coute jupe blanche, une veste de même couleur avec un col et les poignets en fourrure, bas et bottes pour les jambes. C'est une femme d'environ 45 ans très brune au teint mat, pas magrébine, plutôt méditéranéene et assez souriante. je l'abordais poliment, je ne sais pas si elle me reconnu, la négociation fût très basique, ce n'est pas quelque chose que j'aime faire dans la rue.
Je la suivait dans l'immeuble puis dans les escaliers où sa jupette me laissait voir sa culotte de même couleur que le reste. derrière nous sa collègue accompagnée d'un client nous suivait . Pendant la montée des deux ou trois étages les deux femmes continuaient leur discution comme si nous n'étions pas là .
Un studio, relativement grand et lumineux pour le quartier, un grand lit à gauche, des miroirs un peu partout, deux ou trois chaises, dans un coin un lavabo et un bidet, une commode sur laquelle était disposés quelques sextoys mais pas d'instrument SM comme des cravaches ou des menottes ..... négociations plus détaillées cette fois, je paie et l'on commence à se dévetir. Elle n'avait gardé que ses bas et m'a demandé si je souhaitais qu'elle mette ses bottes, offre que j'ai déclinée. Environ 1m60 un corps mince le ventre plat, Margot a des petits seins pas très fermes pour leur volume des auréoles très sombres et les tétons qui pointent, un joli petit cul. La toison publienne est généreuse mais taillée court . Nu moi aussi je commence à bander .
Comme prévu on commence par un cunni dont je suis particulièrement friand et dont assez peu de dames du quartier acceptent la pratique. Margot s'allonge au milieu du lit cuisses ouvertes, je m'installe la tête entre. Son sexe est de ceux qui laissent dépasser les petites lèvres charnues. Je passé plusieurs minutes à lecher sa fente du haut en bas en aspirant les lèvres et le capuchon. Elle ne simule pas reste passive et peu expressive, je le savais cela ne me surprends pas et ne me derange pas non plus.... Je descends à plusieurs reprises jusqu'à l'entrée vaginale sans chercher à y pointer la langue pas plus qu'un doigt chose qu'elle refuse de même que la zone anale est interdite de toute approche . Au bout d'un moment elle repouse gentillement mon visage et annonce que nous allons passer à la suite. elle se lève prend un preservatif sur la commode, le sort de son étui. je suis allongé, agenouillée sur le lit elle prends dans une main ma bite déjà bien raide puis décalotte le gland au maximum, avec l'autre elle dispose la capotte et la déroule sur toute la longeur du sexe. Commence une fellation assez mécanique, il faut bien le reconnaitre.... elle suce surtout le bout en branlant le tout avec sa main droite, on est très loin d'une bouffeuse de bite. de toutes façons dans mon état la pipe est plus une formalité qu'une nécessité, je rappelle qu'il y plusieurs jours que je n'ai pas éjaculé.
Elle s'installe ensuite sur moi, elle n'ajoute pas de gel et j'apprécie, certaines prostituées en mettent vraiment beaucoup trop .....La chevauchée est bien rythmée et profonde. C'est une de ses qualities, Margot se laisse pénétrer profondément sans jamais se soustraire au coup de butoirs qui la premplissent. Dans cette position c'est elle qui gére mais elle fait en sorte que presque tout le membre coulisse dans son vagin, je lui pince doucement les tétons elle ne proteste pas bien que je sois sûr qu'elle préfèrerait que je m'abstienne. Ma cavalière reste toujours muette ou presque, à peine quelque très légers gémissements. Moi j'apprécie et je commence à ne plus pouvoir rester silencieux . après avoir astiquer un bon moment dans cette position elle se lève et se retourne. Accroupie cette fois ses fesses vont et viennent sur ma queue tendue. La vue de son petit cul et de sa chatte dilatée par ma bite est vraiment très excitante, trop, je dois l'arrêter si je veux profiter de la suite du programme. Il n'y a pas d'extra-balle rue Saint Denis ..... Elle est maintenant allongée sur le dos cuisses ouvertes et relevées sur la poitrine. Je la pilonne copieusement ou j'alterne avec des passages moins rapides pour faire retomber un peu la pression, je souflle de plus en plus fort . Petite pose pour terminer en levrette.
Elle se positionne à quatre pattes bien cambrée tête dans l'oreiller, je suppose pour ne pas croiser son regard dans le miroir face au lit . Derrière elle je dirige mon sexe vers le sien, un coup de rein et je coulisse presqu'entièrement dans son vagin accueillant, Margot n'est pas très étroite. Je l'attape par les hanches et je commence les va et vient....Ca claque, mes cuisses contre les siennes , mon bas-ventre contre son cul, mes testicules participent également. Dans cette position les femmes peu fessues offrent une vue imprenable sur leur petite rosette. J'ai les yeux rivés dessus juste au dessus de ma bite qui penêtre agréablement ma pertenaire sexuelle du moment. Curieusement, malgré sa forte pilosité pubienne, aucun poil disgracieux ne pousse dans cette zone, pas plus que dans la raie culière. Je doit maintenant faire des efforts pour me retenir je sais que l'explosion finale approche quand soudain une voix femminine demande :
_ Margot t'es là ? Les murs sont minces on pourrait croire que cette personne est dans la pièce.
Pas de réponse ...... De nouveau....
_ Margot t'es là ?
_Oui je suis là finit elle par répondre d'une petite voix. Etait ce la femme de l'escalier ou une autre prostituée, je ne le saurais jamais ....
Je n'en peu plus mon excitation a franchit un nouveau pallier, j'éjacule bruyammant en fond de vagin, plus que quelques mouvement du bassin, c'est fini....Notre voisine à forcément tout entendu....Je me dégage la capote alourdie d'une grosse dose de semence, Margot se lève et se dirige vers le bidet. Je retire le préservatif qui va rejoindre dans une poubelle une belle collection de capote usagée et de papier de toutes sortes....depuis quand n'a elle va été vidée, Margot partage-elle sa pièce, je ne sais pas. Je passe rapidement ma bite encore raide sous le robinet pendant que Margot se rafraichit l'entre-cuisses .
Je me rhabille, Margot aussi, au revoir bisou....Je sors pluôt satisfait ce qui n'est pas toujours le cas....Je n'ai pas chronomettré, mais à mon avis ce moment n'aura pas duré plus de 25 minutes. Rien n'est inventé, juste le prénom de la dame est changé .
Конец ознакомительного фрагмента.
Текст предоставлен ООО «ЛитРес».
Прочитайте эту книгу целиком, купив полную легальную версию на ЛитРес.
Безопасно оплатить книгу можно банковской картой Visa, MasterCard, Maestro, со счета мобильного телефона, с платежного терминала, в салоне МТС или Связной, через PayPal, WebMoney, Яндекс.Деньги, QIWI Кошелек, бонусными картами или другим удобным Вам способом.